Joanne Boyer I Naufragé de l'âme
La transition de Jean-Baptiste à Joanne Boyer se donne à voir comme un processus à la fois intime, social et artistique. Son témoignage publié sur Instagram, l’exposition « Naufragé de l’âme » et la grande toile « Love » sont autant de lieux où s’articulent dévoilement et opacité, fragilité et puissance créatrice.
Car l’œuvre de Boyer ne se réduit jamais à l’anecdote biographique. Elle prend racine dans une expérience intime — celle d’années de silence, de refoulement et de clandestinité — mais se déploie dans l’espace public de l’art comme un geste de résistance. Dire « j’existe pour qui je suis » ne constitue pas seulement un cri personnel : c’est un acte esthétique, une manière de transformer la peinture en langage d’affirmation et de survie.
 
                    Joanne Boyer I Sans titre
2025, Crayon sur papier - 21 x 14,8 cm
 
                    Joanne Boyer I Sans titre
2025, Crayon sur papier - 14,8 x 21 cm
Joanne Boyer I Dévoré par des chimères
2025, Huile sur toile - 97 x 195 cm
 
                    Joanne Boyer I Chevalier sans armure
2025, Huile sur toile - 65 x 81 cm
 
                    Joanne Boyer, Love
2025, Huile sur toile - 89 x 116 cm
 
                    Joanne Boyer, Mauvaise nouvelle
2025, Huile sur toile - 162 x 130 cm
 
                    Joanne Boyer, Naufragé mais aimé
2025, Huile sur toile - 27 x 35 cm
 
                    Joanne Boyer, Summercamp
2025, Huile sur toile - 33 x 41 cm
 
                    Joanne Boyer, Baptême
2022, Huile sur toile - 40 x 40 cm
 
                    Joanne Boyer, Suivre ses démons
2025, Huile sur toile - 197 x 220 cm